Le sens des paroles jamais dévoilé, toujours inconnu.
En tant que sculptrice, Donna Szoke explore la tactilité et la perception à partir d’une sensibilité féministe. Dans le sillage de son œuvre en deux parties «haiku1.desire» et «haiku2.obsession,» où la peau et plus particulièrement la bouche sont proposées comme sites de désirs, the galatea loop renvoie au mythe grecque où Pygmalion sculpte une femme idéale qui, devenue l’objet de son désir, sera animée par Aphrodite. La relation trouble de l’artiste envers ce mythe est l’inspiration pour cette œuvre kinétique, un praxinoscope qui anime 24 moulages d’une bouche qui semble parler.
