Des œuvres qui prennent la forme de murales composées de milliers de dessins pliés en accordéon, le tout formant une installation de papier matière à la limite d’une fresque littéraire en haut-relief où le corps humain devient, par sa seule représentation, une écriture visuelle en soi. Les techniques de collage, pochoirs et monotype qu’exploite Jacques Clément s’ajoutent à celle de l’encre pour explorer de nouvelles avenues iconographiques de représentation du corps humain et ainsi devenir « écriture visuelle ».
« Les possibilités de lecture sont infinies, les surprises interminables. »
—La Presse, mars 2001.