Habillée comme un « voyageur » contemporain, Elinor Whidden transforme les vieilles voitures en canots, sacs à dos, raquettes, bâtons de randonnée et autres moyens de transport.
Munie de ses morceaux de véhicule, ses aventures, bien qu’insolites et futiles, articulent la relation problématique qu’elle perçoit entre les humains et l’automobile. Le travail de Whidden suggère que les attitudes coloniales datant de l’époque de la « conquête de l’Ouest » sont toujours avec nous et qu’elles renforcent la quête romantique pour la liberté représentée par la route.